La frénésie s'est emparée de nos vies.

La frénésie s'est emparée de nos vies.

Le rythme de notre quotidien paraît dicté par une course effrénée, sans but et sans limites. Nous sommes constamment sollicités, abreuvés et submergés par un flot ininterrompu d'informations, d’activités et d’obligations, dans un monde où les innovations et les tendances se succèdent à un rythme insoutenable.

Pour éviter l’obsolescence et rester en phase avec les changements du monde, nous semblons condamnés à courir. Courir tous, toujours plus et toujours plus vite,  au mépris de notre bien-être et avec comme seul horizon l’épuisement. 

L’épuisement des corps, usés par le travail, le stress ou la fatigue.

L’épuisement des esprits, égarés et consumés par une charge mentale démesurée, la perte de sens et la complexification du monde. 

L’épuisement des écosystèmes, incapables de supporter cette fuite en avant collective.

Il est temps

de ralentir.

de vibrer.

d'explorer.

Il est temps de ralentir, de retrouver le chemin de la simplicité et de l'authenticité. Il est temps de réapprendre à savourer chaque instant, à nous reconnecter avec notre corps, nos émotions, notre environnement. Il est temps de réhabiliter l’oisiveté, le repos et l’otium, ce temps libre et désintéressé que les Romains consacraient à la quête du sens, de la beauté et de la vérité.
Il est temps de vibrer dès que l’occasion s’en fait sentir, de vivre l'instant présent, de se sentir en résonance avec le monde, de s’émerveiller de la beauté des choses, de retrouver notre innocence et notre âme d’enfant. Il est temps de nous engager à cultiver la joie, la créativité, la connexion avec les autres et avec le monde qui nous entoure.
Il est temps d’explorer, de remettre en question les normes établies, de briser les routines et d’élargir les horizons. Il est temps d’éveiller nos sens engourdis, de libérer notre créativité. Il est temps de décaler le regard, d’utiliser l’art et le jeu pour subvertir les règles et rêver des mondes nouveaux, plus respectueux du vivant en nous et autour de nous.
La Clameur est le cri de ralliement de celles et ceux qui refusent de se laisser entraîner dans une course vers nulle part, dans une spirale vertigineuse vers un "toujours plus" et un "toujours plus vite" mortifères.

C'est le grondement enthousiaste et tempétueux de la vie en nous, qui ne se laisse jamais réduire à la quête de performance et de productivi.

C'est le bruit d'une communauté d'esprits et de corps libres, sensibles, solus à inventer des manières d'être au monde plus douces et plus joyeuses.

Qui sommes-nous ?

La Clameur est l'initiative de deux amis, Aurore et Arthur, qui constatent que l'accélération exponentielle de nos rythmes de vie épuisent les corps, les esprits, et les ressources de la planète.

Comme beaucoup autour d'eux, Aurore et Arthur ont fait face aux effets de cette accélération : stress, hyperactivité, dépression, burn-out, perte de sens... Alors ils ont décidé d'entrer en résistance contre cette frénésie croissante.

Après une première carrière en politique locale et dans le conseil, Arthur a pris une longue pause en avril 2023. Aurore, elle, a quitté son poste de manager dans un cabinet de conseil en transition écologique en mars 2024. Ensemble, ils ont alors fondé La Clameur pour faire la promotion de rythmes de vie plus doux et plus respectueux des corps et de la nature.
Créatrice d'incubateur, facilitatrice, consultante, coordinatrice d'association, médiatrice en arts politiques, danseuse… En dix ans d'engagement pour la transition écologique et démocratique, Aurore a été éblouie par le pouvoir transformateur des expériences immersives et collectives. La Clameur est né de ce constat.

Longtemps partagée entre sa volonté de contribuer à la construction d'un monde meilleur, son amour des relations authentiques et sa sensibilité artistique, elle allie aujourd'hui tous ses talents en vous offrant des expériences inoubliables qui vous feront sentir plus vivant.e que jamais... et transformeront probablement vos imaginaires !
Ingénieur de formation, passé par Sciences Po, Arthur a mis pendant 10 ans son énergie dans des univers aussi variés que la diplomatie, la politique locale, et le conseil aux entreprises… Autant d’expériences qui ont ancré en lui la conviction qu’il faut collectivement apprendre à ralentir et à cultiver une nouvelle sensibilité au monde !

Également un peu comédien, créateur de convivialité et éveilleur de consciences, il réconcilie dans La Clameur les deux faces de sa personnalité, en proposant à chacun de vivre d’autres possibles pour cultiver une joie simple et juste.

Leur pensée nourrit La Clameur...

Penseurs, artistes, femmes et homme de terrain ou d'abstraction, elles et ils ont inspiré le principe de La Clameur et nous ont guidés dans sa création par leurs travaux, leurs initiatives et les exemples qu'ils représentent pour nous.

HARTMUT ROSA
Philosophe, théorien de l'accélération.
Estelle zhong mengual
Historienne de l'art et du lien entre art et sensibilité au vivant.
Ivan Illich
Philosophe, penseur de la convivialité.
Cynthia Fleury
Philosophe et psychanalyste, pour une société du soin.
Bruno Latour
Sociologue, penseur d'un nouveau régime climatique.
Thomas d'Ansembourg
Psychothérapeute, promoteur d'une intériorité citoyenne.
Ursula K. Le Guin
Romancière, poétesse, exploratrice d'utopies ambigües.
Baptiste Morizot
Philosophe, défenseur d'une nouvelle sensibilité au vivant.

Questions fréquentes

Les séjours sont-ils des formations ?
Quelle vision de long terme avez-vous pour le projet ?
Quel est l'objectif de La Clameur ?
D'où vient ce nom, "La Clameur" ?
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